Les bienfaits de la gadoue
Avec plus ou moins de succès, avec plus ou moins d’objectifs, les Calédoniens se sont une nouvelle fois rassemblés par centaines autour de la Transcalédonienne. Si elle les aura tous épuisés, la gadoue ne les aura donc pas pour autant effrayés. Retour sur le plus grand bain de boue du Caillou.
Diététique
La rudesse du parcours ne laissait pas d’autre choix : à chacun des cinq postes de ravitaillement distillés le long du parcours, le ravitaillement était une étape obligée…
Handisport
Le calme avant la tempête… Les équipes handisport, qui ont rassemblé pas moins de 125 éléments du peloton cette année, partent vers la ligne de départ avec les moyens du bord… Quelque temps plus tard, c’est sous les applaudissements les plus soutenus que les vingt-cinq formations aux tuniques orange allaient couper la ligne d’arrivée.
Dames
Hélène Barreau, Adeline Nabet et Charlotte Robin ont remporté la Transcalédonienne féminine. Une victoire qui leur était hélas promise après la blessure, dès le premier jour de course, de Régine Saphores, qui composait avec Emilie Balthazard et Joéline Razanatsara la formation rivale la plus dangereuse. L’exploit n’en demeure pas moins respectable pour ces trois triathlètes, peu aguerries aux joies des courses de montagne…
Dames (bis)
Outre les six formations exclusivement féminines engagées sur l’épreuve reine, quatorze autres trios du même sexe ont animé la Trans-Découverte, courue dimanche. Bravo à toutes ces dames.
Chapeau nippon
Naomi Fujimaka, Chigaya Mase et Minehiro Yokoyama, originaires du Japon, composaient l’équipe mixte à dominante féminine la mieux classée de l’épreuve reine. Finalement pas une surprise, les deux derniers cités n’étant pas tombés de la dernière pluie sur les montagnes du globe. Figure du trail nippon, la paire compte notamment une poignée d’UTMB – Ultra Trail du Mont-Blanc – à son actif.